Comment j’ai réussi à courir le Marathon de Paris grâce à ChatGPT

Le pari un peu fou de 42,195 km 😅

Quand j’ai décidé de m’inscrire au Schneider Electric Marathon de Paris, je savais que c’était un défi de taille. 42,195 km à travers les rues de la capitale, un tracé mythique, des centaines de milliers de spectateurs. J’avais déjà couru quelques courses, mais jamais cette distance. Il me fallait un plan, de la motivation… et, je l’avoue, un coup de pouce technologique.

Pourquoi ChatGPT est entré dans l’équation

Je me suis tourné vers ChatGPT, ce qui peut paraître étonnant pour un marathonien amateur. Mais j’avais besoin d’un compagnon d’entraînement virtuel : planifier mes séances, répondre à mes questions sur l’alimentation, gérer la peur avant la course. ChatGPT m’a permis de poser des questions 24 h/24, d’ajuster mon plan en fonction de mes contraintes (travail, famille). Ce n’est pas un coach humain, mais c’est un soutien.

Étape 1 : définir un objectif réaliste

Avec l’aide de ChatGPT, j’ai fixé un temps raisonnable, adapté à mon niveau. Nous avons analysé mes précédents semi-marathons, mon volume hebdomadaire, et défini un objectif « finir » mais avec un peu d’ambition. Cela m’a permis d’entrer dans la prépa avec la bonne mentalité : pas « battre les pros » mais « accomplir un exploit personnel ». Les plans standard pour le Marathon de Paris incluent des allures, des sorties longues, de l’endurance fondamentale.

Étape 2 : planifier l’entraînement semaine après semaine

Grâce à ChatGPT, j’ai construit mon calendrier : trois à quatre séances par semaine, une sortie longue le week-end, un travail de la foulée, de la vitesse modérée, et surtout des jours de récupération. ChatGPT m’a aidé à anticiper les zones d’allure (endurance, seuil, récupération), à varier les séances pour éviter l’ennui, et à être régulier. Ce type de plan est absolument clé pour réussir un marathon comme celui de Paris.

Préparation mentale et stratégie de course 🧠

Un marathon, c’est autant mental que physique. Et là encore, ChatGPT m’a été utile : visualisation du jour de la course, gestion des moments difficiles (vers km 30-35 quand les jambes pèsent), plan de ravitaillement, gestion de l’allure. Le jour J, j’avais une stratégie simple : partir prudemment, bien gérer les kilomètres 20-30, puis donner ce qu’il restait sur les derniers 12 km.

Réglage logistique

Le jour du départ, tout est réglé : sac à la consigne, sas de départ, puce de chronométrage, ravitos tous les 5 km. ChatGPT m’a rappelé de vérifier : chaussures rodées (pas neuves), alimentation testée, conditions météo, stratégie hydratation. Ces petits détails font la différence.

Le jour J : l’expérience au cœur de Paris

Dimanche matin, départ depuis les Champs‑Élysées, sous les encouragements, à travers les rues de Paris, le long de la Seine, les bois de Vincennes et Boulogne… Un tracé merveilleux et exigeant, comme décrit pour le Marathon de Paris. J’ai ressenti toute l’énergie du peloton, des spectateurs, de la ville. Et j’ai compris que l’entraînement, la confiance, la stratégie… tous ces éléments construits avec ChatGPT avaient payé.

Les temps-forts à ne pas manquer

– Le départ sur les Champs-Élysées : frisson garanti.
– Le passage le long de la Seine, l’ambiance.
– Le moment difficile après km 30 : là où on « rentre dans le mur » si on n’a pas préparé la tête.
– L’arrivée sur l’avenue Foch avec l’Arc de Triomphe en toile de fond : émotion ultime.

Et maintenant ? Ce que j’ai appris et ce que je recommande

Courir le Marathon de Paris grâce à ChatGPT m’a appris plusieurs choses :

  • La régularité prime sur la vitesse : mieux vaut être constant.
  • Tester l’équipement et la nutrition avant la course est une nécessité.
  • La préparation mentale doit être intégrée dès le début.
  • Un outil comme ChatGPT peut devenir un compagnon utile, mais ne remplace pas l’écoute de son corps.

Si vous envisagez de tenter vous aussi un marathon ou, pourquoi pas, le Marathon de Paris, je vous recommande de : démarrer tôt, planifier intelligemment, utiliser tous les outils à votre disposition (dont l’IA), et surtout, savourer chaque étape. Peu importe le chrono : l’important est d’arriver, d’être fier, et d’avoir vécu cette expérience unique.

Mot de la fin 🙂

Alors oui, j’ai réussi à courir le Marathon de Paris grâce à ChatGPT. Mais c’est avant tout grâce à la sueur, aux kilomètres, aux doutes, aux matinées froides et aux soirées à réfléchir à « pourquoi je fais ça ». ChatGPT m’a accompagné, m’a conseillé, répondu à mes questions, mais c’est vous, coureur ou future coureuse, qui ferez les pas. Le jour où vous passerez la ligne d’arrivée, vous saurez que l’aventure en valait la peine.


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